Selon elle, il faut donner au malade les outils pour résoudre les problèmes causés par la maladie. Notamment parce que sans s’en rendre compte, la société est organisée pour des gens valides. « Le monde du travail, par exemple, impose d’être là en continu (ou en arrêt). Rien n’est prévu pour les 17 millions de malades chroniques. Il faudrait plus de souplesse. Pour les 7 millions de diabétiques qui doivent marcher et bouger, rien n’est prévu dans l’organisation du travail. Pour ceux qui souffrent du dos et qui doivent rester assis sur une chaise pendant 8 heures, non plus… »
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