Sa face sombre est bien cachée, quasiment invisible. Pourtant, au rugby, loin des caméras, elle se répandrait comme une traînée de poudre blanche, la cocaïne. « Ça sniffe avant d’entrer sur le terrain », affirme un spécialiste du dopage. Pour mesurer l’ampleur du phénomène, il suffit de se rendre sur les terrains de rugby amateurs, des clubs de village, de 6e ou 7e division. Ils ont compté dans leurs rangs des consommateurs de cocaïne.
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