Esport : les collectivités mettent leur grain de sel 06/01/2022 La pratique de l'esport n’est pas négligeable en France. Selon le baromètre France Esports, 2,4 millions de personnes de 15 ans ou plus ont joué à des jeux vidéos sans s’inscrire à des compétitions en 2020. Et 1,2 million ont participé à au moins une compétition de jeu vidéo en 2020…
06/01/2022
La pratique de l’esport n’est pas négligeable en France. Selon le baromètre France Esports, 2,4 millions de personnes de 15 ans ou plus ont joué à des jeux vidéos sans s’inscrire à des compétitions en 2020. Et 1,2 million ont participé à au moins une compétition de jeu vidéo en 2020 (les fameux e-sportifs).
Les confinements dus à la pandémie ont « encouragé » la pratique. En effet quelques compétitions se sont déroulées en virtuel.
De nombreuses villes ont également organisé des compétitions de Esports. Elles y voient un moyen pour « tisser un lien avec les jeunes, les ados » et un levier pour la santé publique (cela pourrait inciter des adolescents à faire du sport). Mais certaines municipalités assortissent par exemple l’aide aux associations de Esports, la participation à la sensibilisation des jeunes, en particulier à l’addiction et au cyberharcèlement.
06/01/2022
Le « journal de Saône et Loire » consacre un article aux dérives sectaires dans le contexte de la crise sanitaire. En effet, depuis le mois de mars dernier, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a pointé le risque de ces dérives d’autant plus par les mouvements antipass et antivax.
Certaines personnes diffusent des informations pour essayer de faire adhérer des personnes angoissées, isolées, fragilisées par la crise sanitaire à une croyance, à un nouveau mode de pensée.
https://www.lejsl.com/magazine-sante/2022/01/06/covid-19-comment-reperer-les-derives-sectaires
05/01/2022
En France, un tiers de la population majeure consacre plus de 6 heures aux jeux vidéo chaque semaine dont 16% plus de 10 heures. C’est ce qui ressort de la dernière enquête internationale Statista Global Consumer Survey.
C’est en Chine qu’on trouve le plus de personnes majeures jouant aux jeux vidéo. Chaque semaine, la moitié y consacre plus de 6 heures, dont un quart plus de 10 heures.
La France est en sixième position de ce classement.
31/12/2021
La radiotélévision suisse s’est intéressée dans le cadre de l’émission « On en parle » à l’impact des réseaux sociaux sur nos comportements et sur la société.
Elle a interviewé le chercheur à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Lê Nguyen Hoang et le psychologue et spécialiste de lʹhyperconnectivité, Niels Weber.
Le premier a abordé la question des caractéristiques des réseaux sociaux conçus pour « créer des risques de dépendance ». Il les a comparés aux machines à sous avec leurs récompenses aléatoires et addictives (emprise des likes, des tweets…) et la soumission des utilisateurs aux algorithmes.
Niels Weber quant à lui, donne des conseils pour sortir de « l’emprise » en s’interrogeant sur notre capacité à nous extraire des injonctions que nous créent les réseaux sociaux. Pourquoi ne pas bloquer du contenu, « décapter » notre attention en nous créant de nouvelles habitudes.
Instaurer des règles dans une communauté – par exemple, la famille – de non utilisation des appareils pendant un temps de partage d’une activité tous ensemble. Le psychologue est plutôt optimiste et pense que nous pouvons être des « consomm’acteurs » face aux sollicitations des médias sociaux. L’important est de « réfléchir à notre position en tant qu’utilisateur ».
30/12/2021
Cet article publié dans « France Soir » reprend les propos de Thomas Amadieu, auteur du livre « La Fabrique de l’addiction aux jeux d’argent », dans différents canaux d’information : une tribune dans le journal Le Monde, un reportage de France Info, une interview avec la radio publique Suisse RTS et un article présentant les bonnes feuilles de son livre dans le magazine The Conversation.
https://www.francesoir.fr/societe-economie/explosion-de-laddiction-aux-jeux-dargent
15/12/2021
La revue Ça m’intéresse, a publié sur son site Internet https://www.caminteresse.fr, un article qui fait le point sur la dépendance sexuelle. Dans les années 70, les médecins ne s’intéressaient pas à ce concept lorsque l’on voulait le mettre sur le même plan qu’une addiction à une drogue. Il a fallu attendre le début des années 80 pour que l’addiction au sexe soit reconnue comme une maladie. Trente-cinq ans plus tard, la communauté scientifique ne s’est toujours pas mise d’accord sur le nom de cette pathologie : addiction sexuelle ? Hypersexualité ? Plusieurs écoles s’affrontent.
https://www.caminteresse.fr/sante/comment-se-manifeste-laddiction-au-sexe-11178127/
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