Protéger les joueurs et encourager la croissance du secteur des jeux vidéo 18/01/2023 Le 18 janvier 2023, les députés européens ont adopté un rapport - 577 voix pour, 56 voix contre et 15 abstentions - qui appelle à une harmonisation des règles de l'Union européenne (UE)pour assurer une meilleure protection des joueurs dans le secteur des jeux vidéo en ligne.…
18/01/2023
Le 18 janvier 2023, les députés européens ont adopté un rapport – 577 voix pour, 56 voix contre et 15 abstentions – qui appelle à une harmonisation des règles de l’Union européenne (UE)pour assurer une meilleure protection des joueurs dans le secteur des jeux vidéo en ligne. Le texte reconnaît également l’important potentiel du secteur pour l’innovation, la croissance et la création d’emplois et propose des mesures de soutien.
Dans le rapport, il est question de protéger les mineurs des incitations à acheter des objets (loot boxes) dans les jeux et de problèmes d’addiction ou de santé mentale. https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20230113IPR66646/proteger-les-joueurs-et-encourager-la-croissance-du-secteur-des-jeux-video
18/01/2023
Cet article décrit le cas de Victor, jeune homme expatrié à Mayotte qui va devenir addict au sexe. Il va conjuguer un épisode hypomaniaque secondaire à son arrivée sur l’île, concomitant à l’addiction sexuelle et un épisode mixte lié aux conséquences de son hypersexualité. Les manifestations vont prendre la forme d’un « détachement envers un partenaire régulier, une appétence à séparer l’intimité du sexe, une faible estime de soi, une culpabilité et une honte liée au comportement sexuel excessif ». Il essaiera en vain de réduire ou supprimer son comportement sexuel excessif malgré les conséquences indésirables.
La « pratique psychothérapique intégrative » avec quelques outils d’approche comportementale se sont montrés efficaces dans la prise en charge.
https://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2023-1-page-60.htm
Image par Joe Davies de Pixabay
« Tu oublies la réalité de l’argent » : les paris sportifs, un fléau en plein développement
14/01/2023
Bertrand Clairiot, ancien parieur compulsif témoigne dans son livre « Le Joueur 3.0 » grâce à un personnage inspiré de sa vie, simple fan de sport, et vivant sous l’emprise des paris sportifs.
L’auteur a commencé par parier de petites sommes (5 ou 10 €). « Je voulais suivre les matchs avec la petite excitation de la possibilité du gain. On ne gagne pas tout le temps mais lorsqu’on gagne, on se prend un peu pour le devin ou le roi du monde »
Dans cet article, Bertrand Clairiot analyse son parcours de joueur et explique pourquoi il a réussi à se sortir de la spirale de l’addiction au jeu.
13/01/2023
Marie-Claude Bossière, pédopsychiatre, membre du collectif CoSE a écrit cet article dans la « Revue politique et parlementaire » pour informer sur les risques occasionnés par les écrans sur le développement psychique des jeunes enfants. Pour elle, « capter le temps de cerveau disponible des bébés est source de dégâts bien plus importants encore que d’aliéner celui des adultes ».
https://www.revuepolitique.fr/les-dangers-des-ecrans-pour-les-petits/
17/01/2023
Pour étudier cette question, des chercheurs américains ont analysé les données provenant d’une cohorte de plus de 400 000 étudiants : The ACHA-NCHA II (The American College Health Association – National College Health Assessment). Ils ont regardé la consommation des substances (tabac, alcool, cannabis, cocaïne, méthamphétamines, sédatifs, hallucinogènes, opiacés, MDMA et médicaments antidouleurs). Ils ont constaté que l’augmentation du risque était significative chez les étudiants souffrant de TCA.
15/01/2023
L’utilisation grandissante des réseaux sociaux par les jeunes ont une influence majeure sur leur image de soi.
Le Dr Bruno Rocher, psychiatre addictologue au CHU de Nantes le confirme. « Avant l’avènement des réseaux sociaux, les modèles étaient les actrices et acteurs ou les chanteuses et chanteurs… ».
Aujourd’hui, les influenceuses et influenceurs qui les ont remplacés sont omniprésents dans la vie des jeunes. Ils les voient du matin au soir sur leur smartphone ».
Un autre élément joue dans la décision de recourir à la chirurgie esthétique pour répondre à l’image idéale donné par les écrans, les filtres. « Les visages irréels derrière ces écrans modificateurs sont présentés comme la réalité », explique le Dr Rocher. « Et cette nouvelle norme… obsèdent nos jeunes patients ».
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