Pour lutter contre ce fléau, le CHU de Lille a monté un groupe d'études pour notamment mieux comprendre les effets du protoxyde d'azote.
Les Hauts-de-France sont particulièrement touchés par la consommation de protoxyde d’azote, à des fins récréatives. L’inhalation de gaz hilarant à haute dose peut avoir de graves conséquences comme pour cet ambulancier lillois, consommateur de « proto » pendant quelques mois. Il témoigne au micro de BFM Grand Lille de cette addiction.
« En trois semaines, si j’avais continué, j’aurais terminé en fauteuil roulant à vie, assure-t-il. J’ai la sensibilité qui est touchée à 30% au niveau de la moelle épinière. Si je me remets à consommer, dans un mois ou deux, c’est fini quoi. »
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