Pour trois quarts des fumeurs, arrêter de fumer, c'est se poser un patch ou prendre des médicaments. Cette idée est partiellement vraie : les molécules utilisées pour calmer le manque de nicotine sont efficaces, mais n'ont aucun effet sur nos comportements. Or ce sont eux qui sont le plus souvent responsables des rechutes.
< amp-iframe loading="lazy" title="arrêter de fumer : savoir analyser le besoin de tabac - allô docteurs" width="500" height="281" src="https://www.youtube.com/embed/ro6vcisvips?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen> amp-iframe>
Pour trois quarts des fumeurs, arrêter de fumer, c’est se poser un patch ou prendre des médicaments. Cette idée est partiellement vraie : les molécules utilisées pour calmer le manque de nicotine sont efficaces, mais n’ont aucun effet sur nos comportements. Or ce sont eux qui sont le plus souvent responsables des rechutes.