Depuis plus d’une dizaine d’années, le « chemsex » fait des ravages au sein de la communauté gay. Corentin retrace son combat pour sortir de l’addiction
Corentin qui auparavant pratiquait le « chemsex » tous les 3 à 6 mois, sombre très rapidement. « Je dormais très peu, je mangeais très peu et je consommais quasiment tous les jours. Plus ça avançait et plus c’était de la drogue et moins du sexe parce que l’un prend le pas sur l’autre. »
Depuis plus d’une dizaine d’années, cette pratique fait des ravages au sein de la communauté gay. Largement favorisés par les applications de rencontre, les plans « chems » s’étendent souvent sur plusieurs jours, du vendredi soir au lundi matin.
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