Après l’annulation de campagnes de prévention de Santé publique France, deux spécialistes d’addictologie s’alarment de l’interventionnisme du secteur vitivinicole et appellent à corriger la politique publique pour ne pas la décrédibiliser.
Le lobby alcoolier a fixé, de manière impériale, les conditions et les limites strictes dans lesquelles la prévention pourrait, à la rigueur, s’effectuer : elle devrait toucher le moins de monde possible (par exemple, uniquement les plus jeunes, sur les accidents), mais il est hors de question d’informer la population générale sur les risques, pourtant bien avérés et documentés scientifiquement, de cancers ou d’accidents vasculaires cérébraux, des mots qu’il ne faut surtout pas associer à l’alcool.
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