Dans le contexte très particulier du confinement, les professionnels de la protection de l’enfance se retrouvent démunis pour faire face aux conduites addictives, parfois exacerbées, des jeunes qu’ils accompagnent.
Après près de trois semaines de confinement, les professionnels de la protection de l’enfance se retrouvent confrontés à des difficultés liées aux conduites addictives des jeunes qu’ils accompagnent dans les structures d’hébergement notamment. Ces problématiques sont souvent renforcées par l’isolement social induit par le confinement : hausse des consommations pour certains mais aussi difficultés d’approvisionnement pour d’autres.