Selon la Société française d’alcoologie (SFA), si le Baclofène va « ouvrir le champ des possibilités » dans certains cas, il reste beaucoup à faire pour « avoir une vision précise de sa place dans l’arsenal thérapeutique chez les patients alcoolodépendants ». Dans un communiqué du 19 septembre, la SFA fait le point sur les résultats de la recherche.