
Si la SFA comprend la grande prudence de l’ANSM vis-à-vis du baclofène, elle s’inquiète en revanche de l’application de cette décision aux patients bénéficiant actuellement de doses plus élevées, stabilisés dans leur consommation (abstinence ou consommation réduite) et en l’absence d’effet indésirable lié au baclofène.
>Télécharger le Communiqué de presse du 2 août 2017.