Alcool : comment conserver les bienfaits du Dry January ?

Ce n’est pas parce que vous avez fait le Dry January qu’il faut se la coller tous les soirs de février. Comment continuer sur sa lancée et en conserver les bienfaits sans rester sobre éternellement ? Un article de Neon Mag

Alcool

On connaît tous maintenant les bienfaits du Dry January. En plus du joli grain de peau, stopper l’alcool complètement pendant un certain temps permet aussi une meilleure qualité de sommeil, une meilleure hydratation, une perte de poids, et ça peut tout simplement faire un bien fou au porte-monnaie. Bref, un vrai booster de mood. Maintenant que vous avez épuisé tous les sites de recettes de virgin cocktails, qu’en est-il de votre consommation d’alcool ? Après avoir recueilli témoignages et avis d’experts, voici nos conseils à suivre pour des bénéfices à long terme du Dry January.

Quelle place occupe l’alcool dans ma vie ?

Que vous soyez un grand consommateur ou un petit consommateur d’alcool, le plus important à faire après ce challenge, c’est l’auto-évaluation. D’après Christian Andreo, directeur de l’association Adixioon doit être capable de « savoir si on peut se passer d’alcool, savoir ce qu’il se passe quand on n’en prend pas, comprendre la réaction de notre entourage… » Être capable de se poser les bonnes questions, c’est un pas de plus vers une consommation contrôlée. « C’est trouver le « moi » dans tout ça : quel est mon moteur, quelle est ma consommation, comment je me positionne par rapport à l’alcool. »

Un diagnostic est donc nécessaire pour pouvoir mieux appréhender notre consommation. Est-ce un besoin émotionnel ? Une pression sociale ? La période que l’on vit actuellement pourrait expliquer une consommation due à l’anxiété ou un état dépressif. Mais pour beaucoup, le Défi De Janvier a permis de comprendre à quel point l’entourage peut être pesant. « L’alcool, c’est quand même un produit auquel on vous met une pression pour le consommer. Pour les femmes, bien entendu elles sont toutes enceintes, pour rajouter une couche de sexisme par-dessus. Et on passera sur les « t’es pas drôle », « ça va bois un coup »… Qui maintenant penserait faire un truc pareil avec la cigarette ? Aujourd’hui personne ne dit qu’on n’est pas un bon vivant si on ne fume pas une cigarette », précise Christian Andreo.

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