Médicaments – Témoignages

Pour voir les témoignages d'usagers de médicaments psychotropes

Podcast Addict'AIDE : Ma dernière fois avec un usage détourné des médicaments, le témoignage de Justine

Justine* se décrit comme « une enfant et une adolescente assez sensible ». Très affectée par le divorce de ses parents, ses consommations d’alcool sont précoces (14-15 ans) et très vite excessives. Jeune adulte, en arrivant à Paris, elle consulte car elle se sent déprimée, anxieuse et elle dort mal. Les médicaments anxiolytiques font alors leur entrée dans sa vie. Très rapidement, pour calmer son anxiété, Justine ne respecte plus les prescriptions et augmente les dosages par elle-même. Avec l’augmentation des doses, elle souffre de troubles de la concentration, n’a plus goût à rien, ressent une « fatigue extrême constamment ». Progressivement, elle sent que « son corps est en train de lâcher ». Un matin, à la sortie d’un after, elle appelle sa maman à l’aide. La dernière fois qu’elle a eu un usage détourné des médicaments, c’était avant son entrée à la clinique. Depuis 4 ans, elle n’a pas rechuté, s’est redécouverte et a changé sa vie « du tout au tout ».

« Les anxiolytiques ont tué mon fils » : le combat de Juliette Boudre

Joseph était magnifique, intense, sensible. Il est mort d’une overdose de médicaments – opiacés et benzodiazépines – à 18 ans. Dans un récit bouleversant, sa mère, Juliette Boudre, le rend éternel en même temps qu’elle conte l’enfer qui a conduit à cette tragédie. Son livre est aussi le miroir d’une société où n’importe quel adolescent peut acheter à bas prix de quoi se tuer, et un cri d’alerte concernant tous les parents. Rencontre avec une femme solaire, digne, debout pour ses trois fils, Joseph, Max et César.

J’ignorais qu’un banal traitement antalgique à base de codéine ferait de moi une toxicomane

J’ai 41 ans, je suis mariée et maman de deux merveilleux enfants de 6 et 10 ans. J’ai un passé psychiatrique assez lourd souffrant de troubles alimentaires et anxieux depuis mes 20 ans. Il y a quelques années j’ai eu des problèmes importants de cervicales qui m’ont amenés à devoir prendre de la codéine pour soulager ces douleurs invalidantes. J’ai très vite constaté que la codéine soulageait la douleur physique mais aussi psychologique, elle faisait sur moi un formidable travail sur la dépression et sur les angoisses.

Addict'aide ils s'en sont sortis : L’histoire d’Albert Caporossi

Albert Caporossi, ancien consommateur de substances psychoactives, nous raconte son parcours et son addiction. De l’enfer à la renaissance.

Benzodiazépines et apparentés : Témoignage de Florian

Le CEIP-A de Paris présente : Lorsque le médicament devient une drogue… Un patient témoigne