
Une étude publiée en mars 2016 ne rapporte pas de bénéfices d’une faible consommation d’alcool sur la mortalité. Parmi les biais des études on retrouve l’inclusion des anciens buveurs et des buveurs occasionnels au groupe des abstinents ainsi que l’estimation correcte des consommations d’alcool. Cette étude rappelle aussi que les buveurs occasionnels devraient constituer le groupe témoin.