ALCOOL / Au Royaume-Uni, on soigne son alcoolisme

Nous approchons d'une période de fêtes, une période d'excès en tous genres, à commencer par l'alcool. C'est toujours délicat, mais trois journalistes du Telegraph se sont attaqués au problème. Ils sont partis de ces deux constats : L'an dernier pendant les fêtes, plus d'un million de Britanniques se sont retrouvés aux urgences d'un hôpital pour un problème de surconsommation d'alcool. C'est deux fois plus qu'il y a 10 ans.

Alcool

Nous approchons d’une période de fêtes, une période d’excès en tous genres, à commencer par l’alcool.

C’est toujours délicat, mais trois journalistes du Telegraph se sont attaqués au problème. Ils sont partis de ces deux constats :

L’an dernier pendant les fêtes, plus d’un million de Britanniques se sont retrouvés aux urgences d’un hôpital pour un problème de surconsommation d’alcool. C’est deux fois plus qu’il y a 10 ans.

Et généralement, après avoir digéré, pour ne pas dire cuvé, ce que l’on observe c’est que la grande majorité des gens ne font rien pour éviter que ça recommence.

Les Britanniques semblent plus préoccupés par leur problème d’alimentation. Les consultations de diététiciens ou de nutritionnistes sont en augmentation de 272% depuis 5 ans, mais pour l’excès d’alcool, tout le monde semble ignorer l’existence des drinkticians : une nouvelle espèce de thérapeute, entre le médecin et le psychologue, qui vous aide à mieux appréhender votre penchant pour la bouteille.

Consulter en ligne