Et si l’alcoolisme pouvait être traité en « effaçant » la mémoire? Ou du moins certains souvenirs agréables liés à la consommation de breuvages alcoolisés? C’est la piste étudiée par des psychologues de l’University College de Londres. Ils ont lancé des tests cliniques pour déterminer si une injection de kétamine peut conduire une personne à réduire sa consommation d’alcool en « piratant » sa mémoire, révèle le Guardian.
Évidemment, l’utilisation d’un produit utilisée à l’origine pour les anesthésies humaines et vétérinaires et considéré comme une drogue hallucinogène en dehors de ces usages -en France et dans de nombreux pays-, ne manquera pas de soulever des critiques.