Avenir Santé nous présente son flash addict de Février 2021

Ce mois-ci un focus sur la Saint-Valentin.

Alcool

Saint-Valentin, qu’importe le flacon…

Les liens entre certains contextes et l’alcool sont bien ancrés : la Saint-Valentin ne déroge pas à la règle et est instrumentalisée dans le discours de nos chers alcooliers.

Nous revenons ici sur l’éventail d’émotions et de sentiments qu’ils utilisent :

Le bonheur, par « les bulles de bonheur pour la Saint-Valentin », que nous propose lesbulleuses.com.

Le partage d’un moment, avec « Ma chopinette », qui questionne le consommateur : « quoi de mieux que de partager un moment avec votre partenaire autour d’une bonne bière ? ». Un partage également repris par Bières de France, qui nous invite à « faire pétiller notre Saint-Valentin » et nous guide vers « une sélection à partager avec votre moitié » 

La séduction et le romantisme, avec les Vignobles Vellas qui offrent la possibilité aux plus timides de déclarer leur flamme avec la cuvée séduction et son étiquette « Red Dingue de toi » ; Initiative similaire avec le site makeyourownspirit.com et ses « cadeaux romantiques », où l’on peut personnaliser la boisson et la bouteille avec un petit message, comme « Be my sweet valentine ».

Le réconfort, grâce à « Côté Vin », qui nous propose un « large choix de vins qui remplacera parfaitement un Valentin ou une Valentine ».

La petite pensée, de la part de cette marque de rhum, qui nous souhaite « un bon week-end les amoureux », heureusement qu’ils sont là.

L’avis d’Avenir Santé

Comme chaque année la Saint-Valentin est une fête commerciale où surprise et amour sont au rendez-vous.

Les alcooliers s’appuient sur l’événement avec des arguments très variés : « déclarer sa flamme avec un bouquet de bières », « partager un moment avec sa partenaire », jusqu’à une intrusion sur des dimensions sexuelles qui font aussi partie de ce moment.

On observe, en plus des arguments variés, de nombreuses stratégies marketing différentes : les jeux concours pour remporter une box (notamment sur les réseaux sociaux), le recours aux influenceurs, les publicités sponsorisées qui se glissent dans le fil d’actualité, entre les contenus ou entre les stories…

Les mentions légales sont souvent oubliées et la neutralité est très souvent remise en question : les textes sont écrits sur un ton principalement émotionnel, les visuels travaillés dans une charte graphique adaptée (les couleurs prédominantes sont le rose et le rouge, on retrouve de nombreuses formes de cœur…).

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