« Chemsex » : « Là, ça ne va pas… Tu vas mourir », le combat de Corentin pour sortir de l’addiction

Depuis plus d’une dizaine d’années, le « chemsex » fait des ravages au sein de la communauté gay. Corentin retrace son combat pour sortir de l’addiction

Autres drogues
Chemsex témoignage
C’est une rencontre qui fait plonger Corentin Hennebert dans le « chemsex ». Ce mot-valise désigne le fait de combiner prise de drogues et rapports sexuels. « J’ai rencontré quelqu’un qui commandait une dizaine de grammes par semaine et quand on me met ce genre de quantité devant moi, je ne peux pas m’arrêter ».

Corentin qui auparavant pratiquait le « chemsex » tous les 3 à 6 mois, sombre très rapidement. « Je dormais très peu, je mangeais très peu et je consommais quasiment tous les jours. Plus ça avançait et plus c’était de la drogue et moins du sexe parce que l’un prend le pas sur l’autre. »

Des plans « chems » du vendredi soir au lundi matin

Depuis plus d’une dizaine d’années, cette pratique fait des ravages au sein de la communauté gay. Largement favorisés par les applications de rencontre, les plans « chems » s’étendent souvent sur plusieurs jours, du vendredi soir au lundi matin.

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