P. Conrod et E. Boers, de l’université de Montréal et du CHU Sainte-Justine ont analysé ce que pouvaient engendrer des pratiques médias (réseaux sociaux, télévision, Internet, jeux vidéo…) chez des adolescents canadiens ( 4000 individus âgés de 12 à 16 ans). Passer beaucoup de temps sur les réseaux sociaux et à regarder la télévision favoriseraient l’apparition de symptômes dépressifs et leur intensification. Par contre, la pratique des jeux vidéo ou la navigation sur Internet n’aurait pas de lien avec des symptômes dépressifs.
Un article rédigé par l’IFAC CHU-Nantes
