« Grâce à ce travail, nous pouvons maintenant mieux prédire qui développera la BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive), ce qui ouvre la possibilité d’utiliser ces informations dans la prévention », commente le Pr Martin Tobin de l’université de Leicester co-auteur de l’étude parue dans la revue spécialisée Nature Genetics qui a impliqué 350.000 participants de 13 pays.
Cette information génétique peut servir de « guide » pour « les traitements futurs », qu’il s’agisse de « développer de nouveaux médicaments, mais aussi de réutiliser des médicaments déjà testés dans d’autres maladies », souligne-t-il dans un communiqué. La bronchite grave, appelée broncho-pneumopathie chronique obstructive (ou BPCO), principalement liée au tabagisme, sera la troisième cause de décès la plus fréquente dans le monde d’ici 2030, selon le Journal of Global Health.
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