DROGUES / Si les patients cancéreux étaient traités comme des toxicomanes

Le constat ? Considérer les toxicomanes avec autant de bienveillance que des malades atteints de pathologies graves ne va pas de soi aujourd’hui. Le message : la nécessité de considérer l’addiction comme une véritable maladie.

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Le constat ? Considérer les toxicomanes avec autant de bienveillance que des malades atteints de pathologies graves ne va pas de soi aujourd’hui. Le message : la nécessité de considérer l’addiction comme une véritable maladie.

Si la comparaison peut paraître inconcevable pour certains, un rapport scientifique du Surgeon General sur les substances addictives et la santé révèle que la dépendance à l’alcool ou à la drogue modifie la chimie du cerveau de manière à faciliter l’installation d’une maladie chronique et progressive, laquelle nécessite d’être traitée.

C’est sur cet insight que l’agence VML et First Call ont basé la campagne. D’un jeune patient cancéreux à une mère de famille atteinte de la maladie de Parkinson, les deux sont confrontés aux mêmes réactions de la part de leurs proches…

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