Cette réforme, comme l’explique la presse du pays nordique, fait actuellement l’objet d’un large consensus politique au sein du Storting, le parlement norvégien.
Les députés travaillent ainsi et en ce moment-même sur une série de textes législatifs visant à transférer la politique antidrogue du pays, actuellement sous responsabilité du ministère de la Justice, vers le ministère de la Santé, bientôt seul compétent en la matière.
«Nous voulons cesser de punir les toxicomanes, pour leur apporter plutôt de l’aide et un traitement», a déclaré Nicolas Wilkinson, le porte-parole en charge des questions de santé au sein du SV (parti de gauche apparenté anti-capitaliste).