Autres drogues – Témoignage autres drogues

Pour accéder à tous les témoignages sur l’héroïne, la cocaïne, la MDMA et les autres drogues de synthèse.

Récit / “Les rêveries du toxicomane solitaire“ Anonyme

Ce court récit anonyme de quelques dizaines de pages, écrit à Paris entre juillet 1996 et février 1997, publié pour la première fois par les Editions Allia en 1997, et réédité en janvier 2018, est un concentré des thématiques que l’on retrouve dans la plupart des récits plus ou moins autobiographiques consacrés à une vie ou un moment de vie sous héroïne. Ici l’anonymat encourage peut-être la mise à nu. L’auteur nous explique dans son avant-propos que c’est un homme nu qu’il veut décrire, “cherchant un lambeau de vérité“ dans l’atypisme d’un témoignage qui n’a bien entendu pas valeur d’universalité. “

DROGUES / Paroles de toxicomanes

Six témoignages poignants de personnes toxicomanes qui racontent leur histoire avec la drogue et pourquoi et comment ils ont décidé d’arrêter de consommer.

La vie secrète des héroïnomanes pleinement intégrés à la société

Jane, 29 ans « Je travaille à la direction d’un groupe bancaire. Je suis assez douée dans ce que je fais, j’ai une augmentation chaque année et j’obtiens souvent de très bons retours de la part de mes collaborateurs. Je fume de l’héroïne régulièrement. En revanche, je n’ai jamais voulu m’en injecter, et je sais que je ne le ferai jamais. Christopher, 34 ans Quand j’ai commencé à consommer de l’héroïne, je fumais environ un gramme par jour. Puis je me suis mis à me piquer, et je dépensais 80 à 110 euros par jour. Le matin, j’ai toujours besoin de prendre 0,4 grammes pour tenir la journée.

Vivre avec un consommateur d’opiacés : un guide pour s’en sortir sain et sauf

Je suis une consommatrice d’opiacés qui ne consomme pas actuellement. Retenez vos applaudissements, cet article ne traite pas de mon “triomphe”, ou peu importe comment vous voulez l’appeler. Il était temps pour moi d’arrêter, et je l’ai fait. La façon dont je l’ai fait importe peu. Alors que je n’ai pas consommé d’opiacés pendant environ six mois, je suis actuellement en couple avec quelqu’un qui lui consomme toujours par voie intraveineuse, et je dois donc m’adapter dans ma vie quotidienne.

Addict’Aide, il s’en sont sortis : L’histoire d’Albert Caporossi

Albert Caporossi, ancien consommateur de substances psychoactives, nous raconte son parcours et son addiction. De l’enfer à la renaissance.

Addict’aide, ils s’en sont sortis : Découvrez l’histoire de Guy Pernès

Guy est un homme franc, attachant qui a toujours le mot pour rire. Et pourtant sa vie n’a pas été simple notamment à cause de ces problèmes d’addictions (alcool, cannabis, cocaïne) qui ont marqué plus de 20 ans de sa vie. C’est à la suite d’une bagarre sous emprise de l’alcool qu’il prend conscience des dommages causés par ses addictions et qu’il décide de se prendre en main. Il est aujourd’hui patient expert au sein de l’association Vie Libre

J’ai photographié ma dépendance à l’héroïne (vice.fr), ri

Dans « Heroin Days », le photographe Yannick Fornacciari raconte sa descente aux enfers de la toxicomanie en images

"Je savais qu’un jour, je deviendrais dépendant. Et pourtant j’ai plongé quand même. Jusqu’au fond. Aujourd’hui, désintoxiqué et sous méthadone depuis tout juste un an, je raconte mon expérience de toxico dans un livre de photos, Heroin Days. C’est l’histoire de trois années dans l’enfer de la dope, mon autobiographie en images."

Témoignage bad trip

Visions, hallucinations, cauchemars, délires, trous noirs... Bons souvenirs ou "bad trip", ils ont vécu une expérience en prenant des drogues - légales ou pas - et ils racontent.

Des étudiants témoignent sur la MDMA (Le Figaro)

La MDMA est de plus en plus présente chez les jeunes étudiants, drogue festive par excellence, le Figaro a recueilli 3 témoignages d'étudiants.

VIDEO. "J'y dépensais entre 300 et 400 euros par mois" : dans la Meuse, l'héroïne fait des ravages

C'est un territoire rural de l'Est de la France, que l'on pourrait imaginer épargné par le fléau de la drogue. Dans la Meuse, l'héroïne est pourtant devenue la préoccupation majeure des forces de l'ordre. Pour saisir l'ampleur du phénomène, un chiffre, éloquent : sur toutes les saisies de stupéfiants dans le département, 35% concernent l'héroïne, contre 5% dans le reste de la France.