Qu'est ce qui différencie un joueur problématique d'un joueur récréatif ?

Le joueur « social » ou « occasionnel » C’est le profil le plus fréquent. Jouant pour son agrément, le joueur occasionnel peut sortir du jeu à tout moment. L’absence de dimension problématique se traduit par l’absence de besoin de jouer. Le plus souvent, le joueur se fixe un montant pour ses mises. Le jeu n’est alors qu’une des facettes de la vie, il se partage avec d’autres centres d’intérêt et n’entrave pas les tâches de la vie courante. Le joueur professionnel Quelques joueurs tirent leurs revenus de cette activité. Ce sont avant tout des personnes qui abordent le jeu avec une approche logique et calculée. Estimant avec précision et calme les probabilités de gain et de perte, constamment concentrées, elles restent impassibles et savent arrêter de jouer pour éviter des pertes excessives. Ces professionnels tireraient finalement peut-être plus leurs revenus de cours particuliers que du jeu lui-même et s’enrichirait au dépends de joueurs imprudents (PARAGRAPHE à REDISUTER AVEC AUTRES). Le joueur « compulsif » Jouant sans « contrôle », le joueur  compulsif n’arrête pas de son propre chef une phase de jeu… surtout lorsqu’elle est gagnante. Seule la dépense totale de l’argent disponible stoppe le joueur qui finit donc toujours perdant (même s’il ne garde en mémoire que ses « succès » au cours de la partie). Le joueur pathologique Comme le précédent, le joueur pathologique éprouve de grandes difficultés à mettre fin à une séquence de jeu, voire ne peut même pas l’envisager. Son caractère pathologique réside dans l’obligation de toujours recommencer à jouer, sans pouvoir tenir compte des réalités personnelles familiales, économiques… et même logiques ! En savoir plus en allant sur la page « comprendre l’addiction au jeu »