« Cette fois, je l’écrase pour de bon ! » L’ultime cigarette fumée, il faut tenir l’objectif… Parmi les outils reconnus d’aide au sevrage tabagique, l’e-cigarette figure en bonne place, notamment parce qu’elle permet de se soustraire en douceur à cette addiction. Néanmoins, malgré des études sérieuses comme celle de Public Health England, l’organisme de santé publique du ministère de la Santé britannique, qui la reconnaissent 95 % moins nocive que le tabac, il est difficile d’être parfaitement rassuré quand les controverses alarmistes se succèdent à intervalles réguliers. On fait le point avec l’un des meilleurs spécialistes, le Pr Bertrand Dautzen-berg, pneumologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et auteur de l’E-cigarette, pour en finir avec le tabac ? (Ixelles) et du Plaisir d’arrêter de fumer (First).
Les 8 questions posées par le rédacteur de l’article sont :
1. Que contient-elle précisément ?
2. La vapeur de la fausse fumée est-elle cancérogène ?
3. Les arômes alimentaires peuvent-ils vraiment être inhalés ?
4. Que penser de la dose d’alcool qu’elle contient ?
5. Y a-t-il des dangers avérés ?
6. Que disent les études sur le vapotage à long terme ?
7. Comment l’e-cigarette peut-elle mettre un terme à la dépendance à la nicotine alors qu’elle en apporte ?
8. Comment aide-t-elle à arrêter le tabac ?
Pour lire les réponses aux questions, rendez-vous sur le site femina.fr via le bouton « Consulter en lign »