E-cigarette : la vérité en 8 questions

Le meilleur et le pire ont été dits au sujet de ce dispositif testé par plus de douze millions de Français et adopté au quotidien par trois millions d'entre eux. Qu'en est-il réellement ?

Tabac

« Cette fois, je l’écrase pour de bon ! » L’ultime cigarette fumée, il faut tenir l’objectif… Parmi les outils reconnus d’aide au sevrage tabagique, l’e-cigarette figure en bonne place, notamment parce qu’elle permet de se soustraire en douceur à cette addiction. Néanmoins, malgré des études sérieuses comme celle de Public Health England, l’organisme de santé publique du ministère de la Santé britannique, qui la reconnaissent 95 % moins nocive que le tabac, il est difficile d’être parfaitement rassuré quand les controverses alarmistes se succèdent à intervalles réguliers. On fait le point avec l’un des meilleurs spécialistes, le Pr Bertrand Dautzen-berg, pneumologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et auteur de l’E-cigarette, pour en finir avec le tabac ? (Ixelles) et du Plaisir d’arrêter de fumer (First).

Les 8 questions posées par le rédacteur de l’article sont :

1. Que contient-elle précisément ?

2. La vapeur de la fausse fumée est-elle cancérogène ?

3. Les arômes alimentaires peuvent-ils vraiment être inhalés ?

4. Que penser de la dose d’alcool qu’elle contient ?

5. Y a-t-il des dangers avérés ?

6. Que disent les études sur le vapotage à long terme ?

7. Comment l’e-cigarette peut-elle mettre un terme à la dépendance à la nicotine alors qu’elle en apporte ?

8. Comment aide-t-elle à arrêter le tabac ?

Pour lire les réponses aux questions, rendez-vous sur le site femina.fr via le bouton « Consulter en lign »

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