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Ce feuillet présente les résultats d’une étude multinationale basée sur des données recueillies au Québec, en France et en Allemagne. Il existe une relation bien marquée entre les dépenses de jeux d’argent et la sévérité des problèmes de jeu. Les mesures de concentration des dépenses au jeu permettent d’estimer le risque associé aux JHA dans la population et ainsi représentent des indicateurs prometteurs et utiles pour les décideurs, les régulateurs et les opérateurs de jeu. Dans un tel contexte, le coefficient de Ginib pourrait s’avérer un indicateur plus performant que les taux de prévalence pour le monitorage et l’évaluation populationnelle des risques associés aux JHA notamment en raison de l’accès plus facile aux données permettant ainsi de détecter les changements et y réagir plus rapidement.

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Article curé et rédigé par l’IFAC CHU-Nantes

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