Les données épidémiologiques récoltées depuis plus de quarante ans laissaient déjà fortement supposer une association entre cannabis et schizophrénie, en fonction de la dose également. Mais aucune étude n’avait jusqu’à présent permis de déterminer précisément si la plante était directement responsable de l’apparition de la maladie.
C’est désormais chose faite avec cette recherche, qui s’appuie sur une technique d’analyse nommée randomisation mendélienne. Celle-ci consiste à étudier la relation entre un facteur de risque – en l’occurrence le cannabis – et la survenue d’une maladie – la schizophrénie – au moyen de marqueurs génétiques fortement liés au facteur de risque.
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