CANNABIS / Pourquoi les labos pharmaceutiques ne veulent pas du cannabis médical

Quand les patients ont le droit au cannabis, ils consomment (beaucoup) moins de médicaments. Une façon de réduire le nombre d’overdoses aux opiacées et d’économiser de l’argent public.

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Quand les patients ont le droit au cannabis, ils consomment (beaucoup) moins de médicaments. Une façon de réduire le nombre d’overdoses aux opiacées et d’économiser de l’argent public.

Devinette du jour : qui sont les principaux détracteurs du cannabis à usage médical aux États-Unis ? Les laboratoires pharmaceutiques. Tiens donc…

Depuis des années, ils subventionnent des chercheurs et des études anti-cannabis et font du lobbying auprès des décideurs politiques. On comprend vite pourquoi en jetant un œil à ce graphique publié par le Washington Post qui s’est basé sur une recherche statistique récente, et que Mashable FR a traduit. Les chiffrent parlent plus que mille mots :

Plutôt que de s’intéresser aux effets du cannabis sur la santé, ou de rentrer dans des débats sans fin sur les abus et le détournement de la loi, l’étude répond à une question toute simple : le cannabis médical est-il ou non utilisé à la place de certains médicaments dans les États où il est disponible ? En somme, est-ce que ça marche ?

Pour accéder à l’article entier et à l’infographie sur le sujet sur le site de Mashsable, cliquez sur « Consulter en ligne »

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