Le striatum des joueurs pathologiques sur-réagit aux « near misses », situation où un gain semblait proche, mais qui s’est finalement soldée par une perte
Merci de jouer
Dépendant au jeu : un problème lié à l’homme ou à la machine ?
Analyse en classes latentes des sous-types de joueurs et des traits impulsifs/compulsifs : est-il temps de repenser les limites diagnostiques du jeu pathologique ?
Le calcul de seuils pour définir un « usage à faible risque » de jeux de hasard et d’argent
Problèmes de jeu et vulnérabilité psychologique : le rôle médiationnel des distorsions cognitives
Addiction au jeu : “au début, c’est un excellent médicament”
Parmi les Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) de France, celui de Villeurbanne est considéré comme centre de référence depuis 2013. Yann Calandras, psychologue, y travaille depuis 10 ans. "En 2017, le centre a reçu 650 patients, et en 2016 ils étaient 700. La fréquentation a beaucoup augmenté ces dernières années, elle a doublé depuis que je suis arrivé, estime-t-il. Au total, 50 % des patients du centre de soin sont suivis pour une addiction à l’alcool, 25 % pour le cannabis, et 10 % concernant une addiction au jeu".
Comment fonctionne un CSAPA? Comment entre-t-on dans l’addiction au jeu ?
Quelles solutions existent déjà face à l’addiction au jeu ?