Il n’existe pas de consensus quant à la reconnaissance d’une addiction au sexe. Les travaux de recherche se poursuivent pour savoir dans quel sous-type de maladie mentale peut être classé ce trouble. Les chercheurs veulent aussi pouvoir proposer des pistes thérapeutiques. Cet article fait le point sur les derniers travaux menés.
Un article curé par l’IFAC-CHU Nantes