Alcool et cocaine : le cerveau trinque
La consommation chronique de cocaïne est associée à une altération des fonctions cognitives. Toutefois, les consommateurs de cocaïne présentent fréquemment en parallèle un trouble de l’usage d’alcool, qui peut lui-même produire des troubles cognitifs significatifs. Les auteurs de cette étude ont donc chercher à examiner l’effet confondant potentiel de la consommation d’alcool sur le fonctionnement cognitif des usagers de cocaïne et d’alcool, en les comparant avec des sujets qui ne consomment que de l’alcool seul et des sujets contrôles.
Alcool et cocaïne : Un mélange explosif
Alors que la cocaïne produit un effet stimulant surpuissant, 80% des adeptes du produit boivent de l’alcool, un autre produit stimulant ! Bizarre ?
Le risque de décès par overdose est directement associé à une température extérieure élevée
La cocaïne et les autres stimulants majeurs peuvent entrainer la mort par overdose. Au contraire de l’alcool et de l’héroïne, les overdoses de cocaïne induisent un coma très agité, avec risque de convulsions et de choc cardiogénique avec défaillance cardiovasculaire. Les usagers de cocaïne n’étant souvent pas indemnes d’autres facteurs de risque cardiovasculaire, il est important de comprendre les différents paramètres extérieurs pouvant jouer sur le risque de décès en cas d’overdose.
Des accumulations de fer dans le cerveau
La science a identifié un autre méfait lié à la cocaïne. L’addiction à la cette substance pourrait perturber la manière dont le cerveau métabolise le fer, selon une étude publiée dans la revue Translational Psychiatry. Les travaux montrent que cette perturbation induit une accumulation de fer dans le cerveau, ce qui pourrait constituer un nouveau biomarqueur de cette addiction.