126 joueurs de LAN (local area network) ont pu être inclus dans l’étude présentée dans cette thèse. La prévalence de l’addiction aux jeux vidéo chez ces joueurs est de 34,9%. Elle est élevée par rapport à d’autres études. Cela pourrait être dû au fait que la population étudiée est faite uniquement de compétiteurs de jeux vidéo. Les composantes qui sont apparues comme un facteur de risque secondaire d’addiction aux jeux vidéo sont : le moment de jeu de minuit à 6H du matin (p = 0,031), le nombre global d’heures jouées le week-end (p = 0,018) et le niveau d’études bas (p = 0,024).
Article curé et rédigé par l’iFAC CHU-Nantes