
Cet échantillon avait pour particularité d’être plus jeune et plus masculin. Ces sujets avaient tendance à avoir des taux plus élevés de troubles psychiatriques (dépression, stress post-traumatique, boulimie nerveuse), adoptaient des comportements plus addictifs (consommation problématique d’alcool, consommation de drogue et exercice) et montraient moins d’autonomie, de coopération, de dépassement de soi et une impulsivité motrice supérieure que ceux qui avaient un trouble lié au jeu mais sans problème sexuel. L’implication dans le jeu était la même pour les 2 groupes.
En conclusion, il faudrait adapter les traitements aux addictions associées comme ici le comportement sexuel compulsif et le trouble lié au jeu. Des mesures de dépistage de ces troubles devraient être proposées.
Un article rédigé par l’IFAC CHU-Nantes