Cet article résume une recherche portant sur les individus fréquentant des sites afin de trouver des partenaires sexuels.
Cette étude a confirmé des scores plus élevés de dépendance sexuelle chez les hommes que chez les femmes. Chez les hommes, le névrotisme était associé à une plus grande propension à la dépendance sexuelle.
Les résultats de cette étude soutiennent le point de vue de MD. Griffiths (2017) qui a suggéré que les facteurs de personnalité ne pouvaient pas expliquer exclusivement la dépendance. En effet, l’addiction résulte de facteurs biologiques et psychosociaux qui sont influencés par des déterminants internes et externes.