Quels sont les facteurs de santé physique et mentale qui contribuent à l’apparition de troubles alimentaires chez les adolescents québécois ? C’est cette question qui est au coeur des recherches de Jessica Di Sante, étudiante au doctorat à l’Université Concordia, qui vient de décrocher une bourse de plus de 100 000 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
« La première idée qui m’est venue en tête lorsque j’ai appris que je recevais la bourse, ç’a été de me dire que ce n’est pas juste moi que ça intéresse. C’est un sujet qui est important pour le domaine de la santé mentale. Ça m’a donné un encouragement énorme », dit la jeune chercheuse au bout du fil. Il est question dans cet article d’une recherche menée par Jessica Di Sante, chercheure à l’Université Concordia de Montréal. Elle veut travailler sur les symptômes non cliniques des troubles alimentaires présents chez les adolescents québécois et en particulier, les difficultés basées sur l’image corporelle, les craintes liées à la perte de contrôle au niveau de la quantité de nourriture ingérée ou encore de la place dominante que peut prendre la nourriture dans la vie d’un individu.Les troubles alimentaires sous la loupe
Il est question dans cet article d'une recherche menée par Jessica Di Sante, chercheure à l'Université Concordia de Montréal.
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