Dans cet article paru dans la revue « L’Encéphale », les auteurs ont rencontré individuellement pendant un an, vingt-cinq jeunes filles souffrant d’anorexie mentale et âgées de 10 à 17 ans. Les résultats révèlent une « surprotection maternelle élevée et paternelle faible » avec un « style parental optimal » prédominant suivi du style « contraint affectueux ». L’étude montre une cotation par les patientes avec anorexie mentale de parents chaleureux et compréhensifs, d’une mère surprotectrice et d’un père encourageant à l’autonomie.
Article rédigé par l’IFAC