Le but de cette étude était de rechercher les relations entre l’activité sportive en général, le poids dépendant/indépendant de l’activité sportive, les facteurs de risque ou de protection dans les troubles alimentaires. L’échantillon comprenait 282 personnes divisées en deux groupes. La première inclusion comportait des athlètes de compétition, des athlètes non compétiteurs et des personnes sédentaires. La deuxième était divisée entre des athlètes soumis à un poids déterminé et d’autres non soumis, d’autres athlètes, et des personnes sédentaires. Les participants ont été évalué avec l’échelle d’estime de soi de Rosenberg, les questionnaire POMS, BSQ, EAT-26 et BUT. Les résultats ont montré de hauts niveaux d’estime de soi chez les athlètes en général soumis ou non à la question du poids. Les athlètes dépendants de leur poids et les sédentaires avaient un taux élevé d’insatisfaction de leur image corporelle ; les sédentaires rapportant également un haut niveau de tension/anxiété, de dépression/accablement, de chaos/désarroi et de fatigue/inertie. En conclusion les jeunes adolescents semble êtreune population à haut risque de complications somatiques et de troubles alimentaires. Les résultats ont suggèrent que l’activité sportive montre des associations intéressantes avec des facteurs de protection. L’identification de groupes homogènes d’athlètes ayant des troubles alimentaires peut aider à mettre en place des programmes de prévention précoce plus adaptés. Les interventions peuvent apporter des enseignements sur les facteurs de protection, et pas uniquement sur les facteurs de risque. Lire l’abstract Article rédigé et curé par l’IFAC CHU-Nantes